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Description archivistique
Avec objets numériques
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Photos aériennes

Photographies aériennes du canton de Genève
Le no des feuilles correspond au découpage du Plan d'ensemble

PAUX Gilbert

  • CH CH-000419-1 PAU
  • Fonds
  • 1948 - 1987

Ce fonds contient les archives personnelles de l'architecte et ses diverses réalisations, à Genève et en Suisse.

Paux, Gilbert

OBERSON Jean-Jacques

  • CH CH-000419-1 OB
  • Fonds
  • 1962 - 2007

De 1994 à 2002, parallèlement à son travail d’architecte, Jean-Jacques Oberson enseigne à l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne puis à l’Institut d’architecture de l’Université de Genève. Son enseignement porte sur la sauvegarde, les arts appliqués, l’aménagement du territoire et le paysage, l’architecture et les arts appliqués dans le domaine de la santé. Ses principales réalisations en architecture se situent dans le canton de Genève. De 1999 à 2005, il agrandit et transforme le foyer et l’école Clair-Bois à Chambésy. De 1993 à 1999, il réalise l’extension de l’Union internationale des télécommunications à Genève, UIT Montbrillant et, de 1973 à 1997, un ensemble socioculturel et d’habitation pour la Ville de Genève « Pâquis-Centre » (école, salles de gymnastique, de quartier, logements etc.). Il gagne le concours pour la plate-forme douanière de Bardonnex à Genève pour l’Office des constructions fédérales. Il l‘exécutera par la suite. De 1986 à 1989, il participe au concours, projet et réalisation du bâtiment administratif, centre mondial pour la firme Firmenich SA à Satigny-Genève. En urbanisme et aménagement, de 1975 à 2006, ses principales études portent sur l’aménagement de quartiers (Pâquis-Centre, Meyrin-Cité, Saint-Jean : couverture des voies CFF, site industriel de Sécheron, Praille-Bachet à Genève, les Marbriers-Lancy, Grand-Collomb-Battelle, Pommier au Grand-Saconnex, ville de Lucerne), sur l’aménagement de zones de développement (Tivoli à Serrières/Neuchâtel). En 2005, il réalise une importante étude de faisabilité de la station autoroutière de ravitaillement de Bardonnex/Genève.

Oberson, Jean-Jacques

NIERLÉ Edouard

  • CH CH-000419-1 NIE
  • Fonds
  • 1948-2006

Le fonds recouvre toute l’activité du bureau d’architecte d’Edouard Nierlé. Il contient aussi des tirages des projets réalisés dans le bureau Saugey. Les doublets avec ce dernier fonds ont été éliminés. Il contient aussi les plans de variantes et de projets exécutés par Jacques Schär (Opération du Boulevard du Pont d’Arve) ainsi que les plans de restauration et de transformation de la Tour Blavignac.

Le site de la Ville de Genève héberge un document virtuel détaillé sur cette tour devenue Maison de quartier Plainpalais-Cluse-Roseraie.

Nierlé, Edouard

Mutations territoriales

Dans ce sous-fonds, l'utilisateur trouvera des documents de base le plus souvent rehaussés d'annotations des chercheurs. Ces annotations témoignent de la méthode de travail des chercheurs.

Méthode des chercheurs du CRR
Les chercheurs du CRR ont étudié les variations (persistance, permanence, apparition et disparition) des composantes morphologiques naturelles (rivières, forêts, etc.) et structurées (réseau viaire, bâtis) du territoire genevois.
Pour ce faire, ils ont employé trois méthodes. 1) La superposition consiste à représenter sur un territoire cadré les étapes successives des variations par différentes couleurs. 2) La comparaison consiste en un cadré d’un même territoire représenté par deux cartes à deux dates différentes, à la même échelle. 3) La juxtaposition est la comparaison d’un même territoire cadré mais à plus de deux dates différentes (extension de la comparaison), à la même échelle.
Pour la comparaison et la juxtaposition, les chercheurs du CRR ont employé des cadrés d'un territoire toujours identique, mais à des dates successives.

Détail des processus et matériel disponible, sur support numérique ou physique
1) cartes de fond (cartes Dufour, Siegfried, nationale) par année de publication [κ]
2) cadrés larges pour chaque année disponible [λ]
3) zooms basés sur les cadrés larges (nº 2) [μ]
4) regroupement par territoire des zooms issus de chaque année [ν]
5) traitement matériel (découpage, collage pour obtenir la superposition, comparaison ou juxtaposition, sans annotation ni couleurs) [π]
6) traitement intellectuel, c'est-à-dire marquage des mutations [ρ]
7) RÉSULTAT : superposition, comparaison ou juxtaposition (sur support numérique ou physique) avec remarques et/ou marquages des mutations [σ]

Mongenet

En 1792, la Savoie est rattachée à la France révolutionnaire pour 23 années. L’ancien duché devient le 84ème département de la République : le département du Mont-Blanc. Au duché de Savoie succède ainsi le département du Mont-Blanc (chef-lieu : Chambéry, préférée à Annecy). Ce département se divise en sept districts, correspondant aux anciennes provinces du duché (Savoie propre, Genevois, Chablais, bailliage de Ternier-Gaillard, Faucigny, Tarentaise, Maurienne).

Source

Dullier-Chopy-1730

Cette carte, qui comprend également un plan de la ville de Genève, reprend le périmètre du bassin du Léman entre Alpes et Jura qui avait déjà fait l'objet de nombreuses publications depuis le XVIe siècle. Une superposition du périmètre du Léman, représenté sur la "carte du lac de Genève et des pays circonvoisins" gravée par Antoine Chopy en 1730 et 1740, avec le tracé du lac tel qu'on le trouve sur une carte d'aujourd'hui montre que la forme du territoire s'approche, avec ce document, de sa figuration définitive. Comme les cartes hollandaises parues dans les Atlas du XVIIe siècle, cette carte a certes été réalisée à partir de documents préexistants, en particulier, pour le haut lac, la carte d'Isaac-Gamaliel de Rovéréa. Mais elle a surtout mis à profit les levés, faits dès 1685-1686 à partir d'observations astronomiques et de triangulations par Jean-Christophe Fatio de Duillier, une méthode garante d'une plus grande précision topographique.

Source : GE200.CH

Dullier-Chopy

Cette carte, qui comprend également un plan de la ville de Genève, reprend le périmètre du bassin du Léman entre Alpes et Jura qui avait déjà fait l'objet de nombreuses publications depuis le XVIe siècle. Une superposition du périmètre du Léman, représenté sur la "carte du lac de Genève et des pays circonvoisins" gravée par Antoine Chopy en 1730 et 1740, avec le tracé du lac tel qu'on le trouve sur une carte d'aujourd'hui montre que la forme du territoire s'approche, avec ce document, de sa figuration définitive. Comme les cartes hollandaises parues dans les Atlas du XVIIe siècle, cette carte a certes été réalisée à partir de documents préexistants, en particulier, pour le haut lac, la carte d'Isaac-Gamaliel de Rovéréa. Mais elle a surtout mis à profit les levés, faits dès 1685-1686 à partir d'observations astronomiques et de triangulations par Jean-Christophe Fatio de Duillier, une méthode garante d'une plus grande précision topographique.

Source : GE200.CH

Goulart

La description du territoire lémanique et de ses environs ("Chorographica tabula Lacus Lemanni locorumque circumiacentium") a été dessinée par le pasteur genevois Jacques Goulart lors d'un séjour d'études en Hollande (1604-1605). Son modèle est la carte manuscrite de Jean Duvillard dont Goulart propose une version corrigée et enrichie. On notera en particulier, outre des modifications des proportions du lac et la belle rose des vents placée en son centre, une toponymie plus détaillée qui indique des lieux-dits (le Mont Blanc apparaît comme le Mont Maudit) et les appartenances politiques régionales. Pour des raisons que l'on devine politiques, la mention du duché de Savoie (en haut, à droite) reste très discrète par rapport à celle du Royaume de France et de l'Helvétie. Le territoire situé à l'est de Genève est, quant à lui, attribué aux Allobroges, une référence anachronique à la Guerre des Gaules de César.

Alors que la carte manuscrite de Duvillard a eu nécessairement un caractère confidentiel, celle du pasteur genevois est gravée et intégrée à la deuxième édition augmentée de l'Atlas de Mercator, publiée par Josse Hondius à Amsterdam en 1606. Le succès de l'ouvrage, réédité à de nombreuses reprises au XVIIe siècle, assura une grande diffusion à l'image. Une galerie de portraits de réformateurs genevois, où l'on reconnaît Jean Calvin, Guillaume Farel, Pierre Viret, Théodore de Bèze et le père de l'auteur de la carte Simon Goulart, souligne l'origine genevoise et protestante du document.

Source : GE200.CH

Alfani-Fornazeris

La véritable représentation du lac de Genève et de ses alentours (Vero dissegno del lago di Geneva con i luoghi chel circondano) a été dessinée par l'artiste Domenico Alfani et gravée par Jacques Fornazeris. Cette vue à vol d'oiseau est dédiée à l'infante Catherine d'Autriche, fille de Philippe II d'Espagne et duchesse de Savoie. L'image s'inscrit dans la tradition des cartes lémaniques inaugurée par Sebastian Münster (avec une vue de petit format publiée dans sa Cosmographie en 1544) et par Johannes Stumpf (dans son atlas de la Suisse – le premier jamais édité – paru en 1548) ; cette tradition connaît un premier sommet avec la carte de Thomas Schöpf de 1578, qui sert de modèle aux cartographes de la fin du XVIe siècle et du début du XVIIe.

Comme dans ces exemples, on constate une grande variété dans la représentation des localités, mais celles-ci sont signifiées plutôt que véritablement figurées, par des fortifications ou des clochers qui n'ont pas de rapport avec la réalité topographique de l'époque, à quelques exceptions près comme l'alignement des tours du château de Ripaille ; l'importance accordée à l'une ou l'autre localité est également fantaisiste, même si les villes les plus importantes (Morges, Lausanne, Thonon) sont distinguées.

Alfani accorde une attention particulière à Genève dont l'organisation générale au bout du lac, en amont de la confluence de l'Arve et du Rhône, est respectée. La précision de certains éléments – l'emplacement central du pont du Rhône et la division de la ville entre Saint-Gervais et la rive gauche, l'organisation des Rues-Basses autour d'un axe, certains détails comme l'alignement des pieux de défense dans le lac, désigné comme palisicata, ou encore le gibet de Champel – pourrait suggérer une bonne connaissance des lieux. L'existence d'une gravure de la ville de la main du graveur de la planche, Jacques Fornazeris, dont la première épreuve est datée de 1589, montre cependant que la vue du Léman s'inspire très probablement aussi de la vue de la ville dessinée en 1548 par Hans Rudolf Manuel Deutsch et publiée peu après par Sebastian Münster qu'il complète par quelques informations nouvelles (gibet de Champel, fort de la Bâtie).

La carte du Léman est probablement contemporaine de la vue de Genève, soit d'un moment de grande tension entre Genève et le duché de Savoie, la République protestante étant en guerre avec son puissant voisin catholique en 1589. La mise en évidence de Genève au-milieu des terres savoyardes est sans doute la preuve de l'intérêt de la Maison de Savoie pour la ville qu'elle cherche alors à reprendre et dominer.

Source : GE200.CH

LESCAZE William Edmond

  • CH CH-000419-1 LWE
  • Fonds
  • 1989 - 1993

Dans ce fonds, on trouve le matériel préparatoire à l'exposition organisée par le Musée d'art et d'histoire (MAH) (Genève) et la filière hepia Architecture à propos de l'architecte William Lescaze. L'exposition s'est tenue au Musée Rath (Genève) de décembre 1992 à janvier 1993.

HEPIA. Filière Architecture (HES-SO)

LESEMANN Henri

  • CH CH-000419-1 LES
  • Fonds
  • 1925-1990

Ce fonds rassemble les documents de la bibliothèque de Henri Lesemann, quelques documents de correspondance, des photos, des périodiques et des coupures de presse.

Lesemann, Henri

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